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Jean-Philippe Couturier, CEO de Whoz : “Le premier ingrédient de la réussite, c’est l’équipe”

3 min

Le 06 septembre 2022, le CEO de Whoz Jean-Philippe Couturier était l’invité de François Geffrier sur Radio Classique. Il raconte « comment il a réussi » et comment Whoz, co-fondé avec Jérôme Balducci et François Gros, est arrivé jusqu’ici !

Ecoutez l’entretien.

Morceaux choisis.

  • Le casting de talent, c’est comme quand on décide de réaliser un film : des talents dans les entreprises ont des compétences et en face les entreprises ont des projets à réaliser. Notre moteur d’intelligence artificielle, mu par un “réseau de neurones” composé de centaines de milliers de compétences, fait ce rapprochement entre talents et entreprises.”
  • Notre métier n’est pas de faire du recrutement, mais de conseiller et accompagner nos clients dans l’utilisation de notre solution.”
  • “Depuis très longtemps en informatique, on cherche à reconnaître le langage naturel – un chat, un chien ou un cycliste sur une image par exemple – mais on ne sait pas faire. On ne comprend pas cette capacité du cerveau à reconnaître les formes. Un “réseau de neurones” est une sorte de grande matrice dans laquelle on va injecter et ajuster ces images. Notre “réseau de compétences” fonctionne de la même manière : on va chercher ces compétences à travers de multiples sources de données disponibles sur le web, ce qui n’était pas possible il y a encore dix ans”.
  • J’ai identifié ce problème quand je travaillais chez Capgemini, puis au sein de mon cabinet de conseil, revendu à Orange : je connais des talents avec lesquels je travaille au quotidien, mes clients ont des projets, et je dois trouver la meilleure adéquation. C’est ainsi que j’ai décidé de créer Whoz et de m’attaquer concrètement au problème.”
  • “Nous avons commencé sur un premier marché, celui de la prestation de service intellectuel, marché assez méconnu en France alors qu’il représente 110 milliards de revenus, à savoir deux fois l’aéronautique. Dans le monde, c’est 3500 milliards, et c’est un marché qui est très peu digitalisé, paradoxalement.”
  • Au départ nous étions 20 cofondateurs. C’est beaucoup, mais cela se comprend facilement : trouver la meilleure adéquation entre projets et talents, quand on est 20 consultants, c’est encore possible. Quand on est cent, ça devient compliqué. À 10 000, ça devient extrêmement complexe. On a donc décidé d’adresser au démarrage le mid market, et pour cela on devait être nombreux à s’associer pour lancer la solution.”
  • Je crois au concept du “fail fast” dans l’entrepreunariat. Il n’y a rien de pire que de s’user avec un même projet pendant des années. Soit cela fonctionne vite et bien, ce qui signifie que le marché existe, soit le marché n’existe pas et on s’arrête rapidement. À 20, on s’arrête très vite.”
  • “Il s’agit de notre première levée de fonds et ce sont directement 30 millions qui ont été levés auprès de fonds américains qui nous ont identifiés. Le marché est en pleine effervescence et le potentiel, incroyable.
  • Le premier ingrédient de la réussite, c’est l’équipe. À 20 personnes avec qui j’ai rêvé de travailler, quand tout le monde s’y met, on fait des miracles !”

Vous aussi, montez à bord de la fusée Whoz.

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