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Décryptage

Grande démission : un mal pour plus de bien-être au travail ?

5 min

Alors qu’aux États-Unis, 20 millions de personnes environ ont quitté leur emploi rien qu’au premier semestre 2022, le bien-être au travail apparaît comme un enjeu clé pour attirer et retenir les talents. Zoom sur ce phénomène international et les innovations RH qui en découlent.

On parle de « Great resignation » ou encore de « Big quit ». Même Beyoncé s’est emparé du sujet dans son dernier single « You Won’t Break My Soul« , encourageant à « lâcher [s]on emploi, libérer [s]on temps » (Release your job/Release your time). Née aux États-Unis en août 2021, cette vague a depuis gagné l’Europe et en particulier la Grande-Bretagne. En France, elle semble rester minime, même si selon la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), près de 470 000 Français ont quitté leur CDI au premier trimestre 2021, soit 20 % de plus qu’à la fin de l’année 2019.

La crise Covid comme déclic 

Cette avalanche de démissions est clairement liée à la crise du Covid et au télétravail généralisé : lors du premier confinement, beaucoup ont entamé une période de réflexion profonde et remis leurs choix en perspective. Grâce au télétravail, certaines missions ont pu s’exercer depuis n’importe où, ou presque. Résultat : nombreux sont celles et ceux qui ont décidé de changer de cadre de vie, d’entreprise et même de métier. Selon une enquête menée par 360Learning, plateforme de formation collaborative, la principale raison est le manque d’épanouissement au travail, avant même le sujet de la rémunération. Les répondants parlent aussi de problèmes de management ou d’un décalage avec la culture de l’entreprise. Mais tous les secteurs ne sont pas touchés : sur les 4,5 millions d’Américains ayant démissionné en novembre 2021, 20 % travaillaient dans l’hôtellerie-restauration, 18 % dans le commerce, 13 % dans la santé et l’aide sociale et 17 % dans les entreprises de services… Des métiers dans lesquels les salaires sont bas et les conditions de travail difficiles.

Seniors et jeunes en tête de file (et en quête de sens)

Les premiers démissionnaires sont en majorité des seniors en retraite anticipée. En Grande-Bretagne, 300 000 travailleurs âgés de 50 à 65 ans ont rejoint la catégorie des « économiquement inactifs ». Leur désir principal : prendre leur retraite et s’échapper définitivement du monde professionnel. Viennent ensuite les jeunes en quête de sens, enfermés dans des métiers dits de “seconde ligne” : restauration, grande distribution, tourisme, jobs sans réel avenir… Souvenons-nous aussi de l’appel à déserter lancé le 10 mai 2022 par les étudiants d’AgroParisTech, et leur remise en cause frontale des modèles de la réussite sociale. Enfin, pour beaucoup d’actifs, c’est aussi l’occasion de se reconvertir et/ou de se lancer en tant qu’indépendant. Quel que soit l’âge, en tout cas, toutes les catégories socioprofessionnelles sont concernées, des personnes en situation de précarité autant que la classe moyenne aisée.

De bonnes pratiques RH innovantes et renforcées

Depuis, de nombreuses entreprises comme Whoz redoublent d’efforts pour innover sur le plan RH. Objectif : attirer et fidéliser ses équipes et nouveaux talents. La dernière étude Syntec Conseil 2021-22 à laquelle Whoz a participé, entérine que de nouveaux modèles d’organisations de travail hybrides sont bel et bien en train de devenir la norme. Télétravail accordé d’office, talent development, RSE.. Dans le même esprit, l’agence de coaching professionnel Simundia donne par exemple les recommandations suivantes : intégrer dès la fiche de poste du nouveau collaborateur la promesse d’un développement de compétences, l’inviter avant même son premier jour dans l’entreprise à des moments informels pour casser la glace avec sa future équipe, allouer un budget dédié au « remote first » si telle est la politique interne… Ou encore, permettre rapidement à l’employé d’entrevoir de nouvelles opportunités au sein même de l’entreprise à travers un « vis ma vie » avec d’autres collaborateurs.

La solution Whoz : une plateforme connectée pour renforcer les liens

Ces nouvelles pratiques RH sont souvent accompagnées de choix de nouveaux outils pour permettre aux équipes de travailler de façon fluide et collaborative. La solution de Resource Management et de Staffing Whoz, participe à cette dynamique. À partir de son espace personnalisé, chaque collaborateur peut voir où il en est dans son projet, tout en gardant une vue d’ensemble sur le travail de ses collègues et la performance opérationnelle et financière du projet en cours. La clé de la réussite réside ainsi dans le partage d’expertises et d’informations business.

Levée de fonds et staffing Whoz renforcé

Du côté des Whozzies, la récente levée de fonds de 30 millions d’euros est un tournant majeur, et pas seulement au niveau du développement international. Whoz aspire à fédérer 110 collaborateurs fin 2022, 200 en 2023, en France et dans le monde. Comme le précise Jérôme Balducci, General Manager de Whoz, dans cette interview : « nous avons plein de challenges à accomplir, plein de choses à apprendre, plein de terres à explorer, dans tous les domaines. Ce sont les personnes qui sont avec nous qui font le mieux l’entreprise. Le Whoz de demain sera créé par tous nos futurs talents. »

Alors, prêts à rejoindre l’équipe Whoz ? C’est le moment !

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